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Novembre 1854, Marius est un dandy, un jeune homme qui passe du temps avec des femmes riches en échange de cadeaux ou d'argent.

Alors qu'il passe la soirée en compagnie d'une duchesse, celle-ci s'énerve en voyant Marius repousser ses avances et se montrer distant. La jeune femme ne comprends pas comment un homme pourrait être plus attiré par la musique que par elle ainsi que la situation matérielle qu'elle pourrait lui apporter.

Dans un élan de rage, elle s'empare du Stadivarius du dandy et le frappe violemment contre la cheminée, le brisant en mille morceau. Marius tente de l'en empêcher mais échoue. Il est prit d'un élan de colère et donne un coup d'archet sur la gorge de la duchesse, avant de se pendre.

D'une manière que seul lui connaît, Marius arriva à remettre à plus tard le jour de son entrée dans l'au-delà. Au lieu de quoi, il passa un marché. Son violon, son, si précieux, stradivarius, lui serait rendu lorsqu'il aurait conduit à la mort cinq cents âmes. Bien sur, le dandy accepta sans la moindre hésitation.

Et c'est ainsi, qu'en décembre de l'an 1854, Marius naquit en tant que démon.

En revanche, contrairement aux croyances populaires, il fait parti de ses être ne possédant aucuns pouvoirs, si ce n'est son intelligence et son immortalité.

Marius et les femmes

Voici une histoire bien complexe, amour ou haine, il n'a jamais réussi à faire la part des choses. Depuis sa mort, Marius a pris en chasse uniquement des femmes. Elles sont ses cibles de prédilection.
D'abord, il s'approche d'elles, puis lentement, les pousse au suicide. Pourtant, il arrive parfois que le démon se retrouve dans une situation complexe, que lui-même ne comprends pas.

C'est arrivé une première fois avec Luna, la ballerine. Une faible créature dont le démon s'est étrangement entiché au point de se mettre lui-même en danger. Ils auraient pu vivre heureux, mais Marius n'aurait pas eu son violon... Alors, qu'elle n'a pas été sa joie lorsqu'il a eu l'occasion d'échanger sa belle contre dix âmes supplémentaire à son tableau de chasse.

"Quand elle est morte,

j'ai simplement détourné le regard."

Puis, il y a eu sa chère Lizzie. Là, ce n'était pas pareil. C'était de la haine à l'état pur. Elle ne s'est jamais laissée faire, elle n'a jamais détournée le regard ou courbé l'échine. Et c'est ce défi permanent qui a tant plu au démon. Elizabeth l'a poussé dans ses derniers retranchements, lui, qui était néfaste, elle l'a forcé à être pire encore.

Comment cela s'est-il fini? Lui seul le sait. Pourtant, il n'en parle pas.

Une seule chose est sûre.

Ce n'est pas une happy end.

"Enchanté, Marius, je serai votre psychiatre"

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